#avenue jean-baptiste clément

[boulbil]

La résidence de l'Abbé Louis de Bourbon, fils illégitime de Louis XV au coin de l'avenue Jean-Baptiste Clément et la rue du Parchamp, jouxtant Saint-Joseph.

[bestofaudreysworld]

The actress Audrey Hepburn photographed by Terry O’Neill at the Studios de Boulogne, located on Avenue Jean-Baptiste-Clément, in Boulogne-Billancourt, a French commune in the Hauts-de-Seine départment, region of Île-de-France, in the western suburbs of Paris, during the filming of “How to Steal a Million”, in September 1965

[evoldir]

Fwd: Course: Online.EvolutionBehaviour.

Begin forwarded message: > From: evoldir@web.rhpcs.mcmaster.ca > Subject: Course: Online.EvolutionBehaviour. > Date: 4 November 2021 at 09:39:36 GMT > To: rdmpage@gmail.com > > > > > Hello, > > We are organizing an online course, which is free of charge, is offered > to students and young researchers (Master students, PhD students, Post > docs) in behavioural sciences and related disciplines. It will consist > of six plenary talks by international senior researchers. > > https://ift.tt/3wd18VI > > > Cédric Zimmer > > Maître de conférences / Associate professor > Laboratoire d'Ethologie Expérimentale et Comparée, UR 4443 > > UNIVERSITÉ SORBONNE PARIS NORD > > Institut Galilée, bâtiment C, 4° étage > Campus de Villetaneuse > 99, avenue Jean-Baptiste Clément - 93430 Villetaneuse, France > > cedriczimmer.weebly.com > > cedric.zimmer@univ-paris13.fr > via IFTTT

[pablolarah]

Quarantine Diaries

Moulin de la Galette

The Moulin de la Galette is a windmill and associated businesses situated near the top of the district of Montmartre in Paris. Since the 17th century the windmill has been known for more than just its milling capabilities. Nineteenth-century owners and millers, the Debray family, made a brown bread, galette, which became popular and thus the name of the windmill and its businesses, which have included a famous guinguette and restaurant. In the 19th century, Le Moulin de la Galette represented diversion for Parisians seeking entertainment, a glass of wine and bread made from flour ground by the windmill. Artists, such as Renoir, van Gogh, and Pissarro have immortalized Le Moulin de la Galette; likely the most notable was Renoir's festive painting, Bal du moulin de la Galette. . . . 🏤 Rue Lepic is an ancient road in the commune of Montmartre, in the 18th arrondissement of Paris, climbing the hill of Montmartre from the boulevard de Clichy to the place Jean-Baptiste-Clément. It is an ancient road resulting of rectification and re-arrangement of several dirt-roads leading to the Blanche barrier (Place Blanche), starting life as Chemin-neuf (Le chemin-vieux was rue de Ravignan). In 1852 it was renamed rue de l'Empereur, and renamed again in 1864, after the General Louis Lepic (1765-1827). Located near the Métro station: Blanche.

Two Windmills in Rue Lepic: At n°15, brasserie Café des 2 Moulins where the film Amélie was set. At n°77, Moulin de la Galette and Moulin le Radet.

Le mur des je t'aime, lit. the I Love You Wall,  is a love-themed wall of 40 square metres (430 sq ft) in the Jehan Rictus garden square in Montmartre, Paris, France.

The wall was created in 2000 by calligraphist Fédéric Baron and mural artist Claire Kito and is composed of 612 tiles of enamelled lava, on which the phrase 'I love you' is featured 311 times in 250 languages. Each tile is 21 by 29.7 centimetres (8.3 in × 11.7 in)

It includes the words 'I love you' in all major languages, but also in rarer ones like Navajo, Inuit, Bambara and Esperanto. The wall is open to the public free of charge.

lesjetaime dot  com

La rue Lallier est une voie publique située dans le 9e arrondissement de Paris. Elle débute au 26, avenue Trudaine et se termine au 53, boulevard de Rochechouart.

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[boulogne2020]

J’organise une exposition sur les 700 ans de la ville de Boulogne (qui n’aura en fait 700 ans qu’en 2030 mais c’est un détail insignifiant) en réservant 90 % de l’exposition à l’histoire de... l’église de Boulogne. Un seul panneau sur 50 sur les blanchisseurs. Et c’est tout. Un peu comme si on faisait une exposition sur l’histoire de Paris mais uniquement sur Notre-Dame. Les nobles allant à Versailles et laissant leur linge sale au passage aux blanchisseurs boulonnais, première source historique de développement de la ville de manière exponentielle, due aux plus de 250 puits d’eau claire sur la commune ? On s’en fout. Que le petit village de Menuls les-Saint-Cloud ne change son nom en Boulogne-la-Petite qu’en 1330 après la bénédiction de l’église par l’évêque Hugues de Besançon ? Ben c’est-à-dire que ça ne nous arrange pas, on est en 2019 et pas sûr qu’on soit là en 2030 alors on tord la vérité comme on peut. Rien sur l’arrivée des Italiens, redonnant vie au quartier abandonné des Menus à partir de 1871 après l’incendie de Saint-Cloud par les Prussiens ? Pas intéressant. Rien sur Boulogne, lieu de villégiature au XVIIe siècle des nobles, riches et puissants, rien sur les salons artistiques et littéraires ? Rien sur Jacob de Rothschild et son splendide château ? Who cares ? Rien sur la naissance de l’aviation, Voisin, Farman, Santos-Dumont, rien sur le cinéma (René Clair), sur les studios de Boulogne, rien sur l’automobile, rien sur Renault, sur l’Île Seguin dont on fait disparaître consciencieusement la mémoire un peu plus chaque jour ? Pourquoi remuer le passé ? Rien sur les mairies successives de Boulogne (la toute première au 35 avenue Jean-Baptiste Clément n’est même pas indiquée), rien sur l’annexion de Billancourt en 1860, rien sur les résidences de luxe décidées par le baron Haussmann qui devinrent le Parc des Princes, Molitor et le quartier des années 30 avec de sublimes architectes ? Quel intérêt ? Flatter mon électorat catholique avec une expo sur l’église de Boulogne, c’est tellement mieux. Je suis, je suis Pierre-Christophe Baguet.

[reseau-actu]

Pendant les coupures publicitaires de l'émission de Cyril Hanouna consacrée au « Grand débat », dans la tribune la plus excentrée, le public, privé de parole s'est rebellé. « Les Echos » y était.

L'invitation précisait bien de se présenter avenue Jean-Baptiste-Clément à Boulogne-Billancourt à 20 h 50 précises. Soit une heure et demie avant le début de l'émission de Cyril Hanouna, « Balance ton post », consacrée au  grand débat national et coanimé par Marlène Schiappa, secrétaire d'Etat chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes. On avait décidé d'y assister sur les bancs du public.

A l'entrée, chacun se voit remettre un bracelet de couleur fluo (comme dans les parcs d'attractions). Le nôtre est jaune et l'on se retrouve avec une vingtaine de personnes dont la proposition pour le Grand débat a été sélectionnée, parmi toutes celles envoyées par mail ou sur Facebook.

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Ils ont été invités à « participer » - le mot a son importance - à l'émission. Un jeune homme venu de Palaiseau a un peu le trac : on ne l'a pas autorisé à garder ses notes et il craint de ne pouvoir s'exprimer correctement. A côté de lui, deux Nantais sont plus sûrs d'eux : ils ont créé un groupe Facebook, « Gilets Jaunes of the world ». On attend.

Bracelets jaunes et bracelets roses

Un membre de la production arrive et... première douche froide. Les porteurs de bracelets jaunes ne pourront pas forcément tous prendre la parole, explique-t-il, car ils ne font pas partie des invités dont les parcours et les idées ont été passés au crible (ceux-là ont des bracelets roses). Non, les « bracelets jaunes » pourront intervenir seulement quand Cyril Hanouna se tournera vers le public et on ne sait pas s'il le fera souvent.

Youcef Adjadj est le premier à réagir : il « est handicapé », il veut proposer la création d'une brigade anti-discrimination, il arrive de Lille et s'il ne peut pas parler, « c'aurait été plus confortable de regarder l'émission à la télé ».

Audrey, militante végane qui arrive de La Rochelle, s'insurge : « Vous auriez dû nous prévenir ! Le voyage et l'hôtel, ce n'est pas gratuit » Ils sont tous venus à leurs frais. Le jeune chargé de production, tout en diplomatie, leur promet qu'il fera tout son possible pour que chacun s'exprime.

« Eh... Monsieur le Président »

Un peu en retrait, Virginie et Sébastien sont interloqués. Venus de la région lyonnaise, ils sont chanteurs et gagnent leur vie en imitant France Gall et Michel Berger. Mais là, ils ont écrit une chanson sur les « gilets jaunes » intitulée « Eh... Monsieur le Président ». « On voulait un chant moins agressif que les slogans qui tournent sur Internet », explique Sébastien qui espère une première diffusion dans l'émission.

Tout le monde regagne le plateau, et les porteurs de bracelets jaunes s'installent sur la tribune la plus excentrée. Ils écoutent sagement la première partie de l'émission. Deux heures consacrées à la fiscalité : TVA à taux zéro sur les produits de première nécessité, rétablissement de l'ISF, CICE réservé aux PME et peine plancher de trois ans de prison pour les fraudeurs fiscaux... « Vous qui devez vous y connaître, vous croyez que ça a des chances de passer tout ça ? », nous interroge notre voisin de gradin.

« On est des pots de fleurs »

Lorsque la coupure pub de 0 h 15 arrive, l'impatience gagne les « bracelets jaunes » : « On est des pots de fleurs », murmure l'un. « Je suis à deux doigts de me barrer », peste Audrey. Sauf qu'elle ne peut pas : on ne quitte pas l'émission en cours et l'un des membres de la sécurité le lui faire savoir fermement.

Reprise de l'émission. L'agriculteur, l'infirmier et le policier qui témoignent émeuvent tout le monde. Marlène Schiappa promet d'organiser pour les deux premiers « un rendez-vous avec Jean-Paul Delevoye », chargé de la réforme des retraites , pour parler de la pénibilité de leur travail. Elle transmettra aussi une lettre du policier au ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner.

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Les deux versants du grand débat

« Après des témoignages comme ceux-là, il n'y a pas de place pour notre cause dans l'émission », se désole le responsable d'une association de pères dépourvus de la garde de leurs enfants.

Effectivement, à voir la diversité des th��mes portés par nos « bracelets jaunes », on se demande si les concepteurs de l'émission pensaient vraiment pouvoir tout aborder. Sébastien a sa réponse : « Ils ont fait du surbooking. Ils nous ont appelés pour avoir des roues de secours, mais c'est pas bien : on a fait 600 bornes », soupire-t-il.

« Faîtes votre boulot ! »

Sauf qu'être privé de parole après s'être mobilisé pour se faire entendre, c'est dur. Et les « bracelets jaunes » trouvent que les chroniqueurs professionnels prennent trop souvent la parole, eux. Lors de la coupure pub de 0 h 46, c'est carrément la révolte dans la tribune des « bracelets jaunes ».

L'un des Nantais de « Gilets jaunes of the world » se met debout sur un gradin et interpelle Cyril Hanouna : « On ne peut pas appeler ça un grand débat, c'est pas possible ! Faîtes votre boulot les mecs ! » Les vigiles deviennent nerveux, le jeune chargé de production s'excuse auprès des « bracelets jaunes », explique qu'ils seront « en partie défrayés ».

Le calme peine à revenir. Et les vigiles deviennent martiaux pour obtenir que chacun se rassoie à la reprise du direct. Il est 1 h 25 quand l'un des « bracelets jaunes » hérite finalement d'un micro : c'est Youcef qui propose la création de sa brigade anti-discrimination. Et Marlène Schiappa dit oui, tout de suite, maintenant, « créons-là ».

L'émission se termine avec les sept propositions retenues par les téléspectateurs. Cyril Hanouna « est très content de ce qui s'est passé ce soir ». « On va le refaire, » ajoute-t-il. L'émission a débordé et le troisième thème prévu n'a pas pu être abordé : il s'agissait de... la démocratie.

Les 7 propositions du débat

Sept propositions ont été retenues par les téléspectateurs à l'issue de l'émission. Suppression de la TVA sur les produits de première nécessité - idée la plus plébiscitée de la soirée -, peine plancher pour l'évasion fiscale, réexamen des niches fiscales, révision des « cycles horaires » de la police, crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) réservé aux TPE et PME, retour de l'ISF et augmentation de 2 à 4 % du budget des hôpitaux. Des idées que Marlène Schiappa s'est engagée à relayer auprès de l'exécutif.

[viewingstreets]

99, Avenue Jean-Baptiste Clément, 93340 Villetaneuse, France

[desymbol]

Edgar Morin University Library / ROPA & Associés Architectes

Edgar Morin University Library / ROPA & Associés Architectes

© Luc Boegly

Architects: ROPA & Associés Architectes

Location: 99, avenue Jean-Baptiste Clément 93430 Villetaneuse, France

Project Manager: Laurent Blondel

Furnishings Project Manager : Françoise Sogno

Client : Région Île-de-France

Client Delegate: Saerp

Area: 6477.0 m2

Project Year: 2018

Photographs: Luc Boegly

© Luc Boegly

Text description provided by the architects. The…

[boulbil]

Avant la rue de la France Mutualiste (ou rue Pau Casals), cette adresse à Boulogne au coin de la rue du Parchamp et de l'avenue Jean-Baptiste Clément était la grandiose résidence de l'Abbé Louis de Bourbon, fils illégitime mais reconnu de Louis XV et de Mlle de Romans. Une superbe demeure à fronton avec communs et écurie détruite seulement en 1933 et qui jouxtait également Saint-Joseph du Parchamp.

[boulbil]

Petit retour historique sur le quartier des Menus d'où est né la ville. En 1308, le roi Philippe Le Bel se rend à Boulogne-sur-Mer pour le mariage de sa fille Isabelle avec Édouard II, roi d'Angleterre. Constatant la renommée de la chapelle, lieu de pèlerinage attirant même des bourgeois parisiens, le roi, de retour à Paris décide de faire ériger une chapelle plus proche de Paris du nom de Notre-Dame-de-Boulogne. Terrain est proposé aux Menuls-lès-Saint-Cloud par son chancelier, Jean de la Croix qui possédait 5 arpents sur le tertre des Menus. Remplaçant la petite chapelle Saint-Gemme en bois, l'édification de l'église démarre en 1319 (d'où l'erreur de la mairie pour l'expo des 700 ans de la ville en 2019) et se termine le 3 juillet 1330 par la bénédiction de l'évêque Hugues de Besançon sous le vocable de Notre-Dame-de-Boulogne-sur-Seyne. Le villages des Menuls, désormais érigé en paroisse devient Boulogne-la-Petite et son bois, le bois du Rouvray, devient le Bois de Boulogne. L'église devient vite célèbre, le pèlerinage se développe (plus rapide que les 15 jours pour aller à Boulogne-sur-Mer) et les grands noms de l'époque s'y succèdent : le roi Philippe V, Jean le Bon, Jeanne d'Arc, du Guesclin et même le pape Sixte-Quint. Le trésor de l'église et sa renommées croissant, le village se développe, échoppes, auberges, hôtellerie. Ainsi naquit Boulogne. La prospérité gagne la ville, les lavandières vont à la rivière par la rue du Bac et la rue de l'Abreuvoir pour nettoyer le linge des riches propriétaires. La blanchisserie se développe au moment où Monsieur, frère de Louis XIV rachète la demeure des Gondi à Saint-Cloud et s'y installe, organisant des fêtes somptueuses où la noblesse se presse... en déposant leur linge sale à l'aller pour le récupérer au retour. Les 600 personnes au service de Monsieur descendent souvent à Boulogne par le Pavé du Roi (actuelle avenue Jean-Baptiste Clément) et contribuent aussi à l'essor de la ville autour de l'église et des Menus. Au XVIIIe siècle, de nombreuses villégiatures de nobles parisiens sont construits à Boulogne, le château de Meulan (futur Rothschild), la maison Walewska, la maison de l'Abbé Louis de Bourbon, fils illégitime de Louis XV à l'emplacement actuel des immeubles de la France Mutualiste mais les vieilles maisons du quartier des Menus, vétustes, sont peu à peu délaissées par les blanchisseurs au profit de la rue d'Aguesseau puis de la rue de la Rochefoucauld, nouvellement percée. Ce n'est qu'en 1871, après l'incendie de Saint-Cloud que le quartier retrouvera vie avec l'apport massif d'une communauté italienne originaire du Piémont. Les Menus reprennent vie et nombre d'hôtels meublés, de bars se développent dans tout le quartier des Menus.

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Brasserie Jean-Baptiste, ex Café du Cadran Bleu au coin de l'venue Jean-Baptiste Clément et de la rue de Paris

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Rond-point de Boulogne et début de l'avenue Jean-Baptiste Clément (ex Grande Rue)

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Avenue Jean-Baptiste Clément.

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Avenue Jean-Baptiste Clément (ex Grande Rue)

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Place Bernard Palissy, avenue Jean-Baptiste Clément.

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Avenue Jean-Baptiste Clément (ex Grande Rue), rue de Billancourt (à droite) et rue Mahias (la rue de la SHAG) à gauche.